Réveil 9 heures, à peine passé la porte de notre chambre, la chaleur déjà.
Si Meursault disait: « Le ciel était déjà plein de soleil. Il pesait sur la terre. » Connaissait-il Buenos Aires ?
Un journée entière à déambuler, le centre d’abord. L’obélisque, la cathédrale, la maison présidentielle puis San Telmo, son marché couvert, ses brocantes, premiers empanadas pour la pause de midi. Une place ombragée que deux danseurs s’étaient approprié pour se déhancher au rythme du tango. Ce soleil toujours, qui dicte ou marcher.
Pour le fuir nous nous arrêtons un instant dans un commerce, y cherchons l’eau la moins chère. Pour 20 pesos nous trouvons une bouteille de 2 litres qui fait sortir l’eau par un siphon. Kilian retombe en enfance et passe le reste de l’après-midi à gicler tout ce qui passe sous ses yeux, principalement moi du coup.
Puis nous arrivons à Recoletta, quartier aisé où nous visitons le centre culturel avec notamment une expo de BD sur les relations charnelles. Arrive l’heure du souper où nous retrouvons Adrian mon prof de tennis avec qui nous passons la soirée. Au fil du repas et des bières il semble que nous ayons enfin réussi à échapper à la chaleur et au soleil.
Théo Rochat
3 commentaires
Quentin Bérard · 14 janvier 2018 à 17:32
Excellent!
… tu as vu Adrian… génial
Laure · 13 janvier 2018 à 21:26
Trop sympa de nous faire partager ces premières heures d’acclimatation ;-)! Au plaisir de vous lire
Roxane · 12 janvier 2018 à 18:08
Et bien! C’est que Théo devient poète quand il écrit!! 😉
Ça te manque tant que ça les dissertations?? ^^
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