Santiago, cela faisait bien longtemps que nous ne nous étions pas retrouvés dans une métropole. Bien que la chaleur et le bruit ne nous aient pas manqués, l’immensité et le contraste choque toujours, du moins au début. On s’habitue ensuite vite à ses rues animées.
Pour découvrir la ville quoi de mieux qu’un guide local qui parle français. Nous avions beaucoup entendu parler de ces « walking tours », un concept allemand qui s’est exporté maintenant dans le monde entier. On marche dans la ville en groupe, s’arrêtant aux points importants que notre guide nous décrit et à la fin de la visite. On paie ce que l’on veut à notre guide selon si le tour nous a plu. Cela nous a permis d’en apprendre énormément sur l’histoire du pays et surtout sur la dictature qu’il a subit.
La suite du séjour n’a pas été autant amusante car vu que j’avais été malade depuis un moment, j’ai pu passer à la case hôpital tandis que Théo arpentait les différents musées de la ville.
Une halte non seulement relaxante mais aussi culturelle…
Kilian d’Eternod
2 commentaires
Marc · 26 mars 2018 à 06:43
ca a l’air vachement cool votre voyage! tu m’impresionne bq Kilian!! Et toi aussi, Thöo que je ne connais pas (encore)
Larina · 23 mars 2018 à 20:32
L’opération Condor en Amérique Latine, avec ses vols de la mort?
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